- Éditeur
- n/a
- Auteur(s)
- Jean-Claude Meyer
- Année de parution
- non daté
- Nombre de pages
- 16
* il peut s’agir de micro-organismes (champignons, bactéries, virus), d’animaux invertébrés (acariens, insectes, nématodes) ou de vertébrés (reptiles, amphibiens, oiseaux, poissons, mammifères).
Cette méthode de lutte repose sur le postulat qu’une espèce envahissante se multiplie sans limite dans une aire d’introduction car elle n’y a pas été introduite avec son cortège d’ennemis naturels (organismes prédateurs, parasites, pathogènes) qui régulent naturellement ses populations dans son aire d’origine. C’est la théorie du « relâchement écologique » (« ecological release » en anglais)
On distingue plusieurs types de lutte biologique :
- La « lutte biologique classique »
- La « lutte autocide »
- La « lutte inondative »
- La « lutte microbiologique »