- Éditeur
- GIZ
- Auteur(s)
- Collectif
- Année de parution
- non daté
- Nombre de pages
- 53
Il s'agit des parties végétatives de la plante (feuilles, tiges, éventuellement racines), à l'exclusion des fruits et des graines, que l'on utilise soit à l'état frais, soit conservés, généralement par séchage.
Les cultures fourragères sont à l'interface des productions agricoles et de l'élevage. Elles relèvent de l'agronomie et servent aux productions animales. Leur introduction peut concerner aussi bien les milieux spontanés (dont les espèces fourragères sont issues) que les espaces cultivés (intensification en irrigué).
L’avantage essentiel de la production fourragère en irrigué est de lever la principale contrainte du rendement. En effet, la maîtrise de l’eau combinée aux autres facteurs du rendement (fumure) assure à coup sûr l’optimalisation des rendements des cultures irriguées.
La production fourragère irriguée vise plus particulièrement à répondre à trois questions dont :
- trouver des plantes pérennes pour constituer des prairies permanentes ;
- trouver des plantes adaptées à la saison sèche froide ;
- introduire des graminées et légumineuse pour une meilleure transformation de l’eau.