- Éditeur
- n/a
- Auteur(s)
- William Albertier
- Année de parution
- non daté
- Nombre de pages
- 20
Dans l'Antiquité, le poisson frais était très cher, beaucoup plus cher que la viande de mouton ou de boeuf par exemple.
Les hasards de la pêche, les difficultés de transport en faisaient une denrée avant tout réservée aux populations côtières. Tout naturellement, là où il y avait du poisson et du sel, on trouvait des centres de salaison pour la conservation des poissons.
Le fumage, déjà connu des Gaulois, associé au séchage et au salage peut aussi augmenter la durée de conservation, mais surtout il donne aux aliments une saveur particulière et très raffinée.