Ô ma forêt !.. C'est toi, quand mon mal me dévore,
La vive hamadryade au rire de ruisseau.
Sous ta chair coule, enfant, le doux sang de l'aurore ;
Tes beaux pieds de rêveuse ont la fraîcheur de l'eau.
Tous les oiseaux du soir nichent dans ta pensée,
Mais que fuse l'appel de ton rire argentin
Et...